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Comment ça marche
L’interruption volontaire de grossesse, ou IVG, est une intervention chirurgicale qui permet à une femme de mettre fin à une grossesse. Cependant, cette pratique est strictement régulée dans de nombreux pays. Malheureusement, dans certains endroits comme en Algérie, l’IVG est carrément interdite.
En Tunisie, les femmes ont le droit d’avorter légalement jusqu’à 12 semaines de grossesse. Par ailleurs, c’est une procédure est fréquemment réalisée chez les jeunes femmes en situation de célibat qui ont conçu suite à des relations sexuelles non protégées. Pour des raisons de religion et de pressions sociétales, ces patientes optent pour l’interruption volontaire de grossesse en toute discrétion.
Si vous envisagez une IVG en Tunisie, Tunisie Destination Santé est à votre disposition pour organiser discrètement votre séjour médical.
Malgré le caractère spécifique de l’IVG et le tabou des rapports sexuels avant mariage dans les pays musulmans, il faut choisir des infrastructures médicales dans les normes pour pratiquer l’interruption volontaire de grossesse, afin d’éviter des complications. A cet effet, Tunisie Destination Santé peut vous assister pour votre IVG en Tunisie.
Les couts d’une IVG partent de 650 eur. Pour recevoir un devis personnalisé avec un prix IVG, veuillez prendre contact avec nous. Tunisie Destination Santé peut organiser pour vous le transfert aéroport clinique ainsi que planifier votre séjour pour une IVG aller-retour le jour même en toute discrétion. On peut également planifier une nuitée a l’hôtel.
L’IVG est pratiquée en Tunisie en toute légalité. Toutefois, la grossesse ne doit pas dépasser les 12 semaines. Notons que l’interruption volontaire de grossesse est pratiquée par un gynécologue. Attention à bien choisir votre destination et gynécologue car malheureusement, des IVG pratiquées dans des conditions non adaptés à une intervention chirurgicale et par des non médecins spécialistes peuvent endommager l’appareil génital de la patiente avec des dégâts irréversibles. Par exemple, si l’IVG n’est pas maîtrisé, l’utérus peut être perforé pendant l’acte.
Les raisons d’avorter varient, mais les femmes peuvent choisir cette option si :
En 2013, une équipe de chercheurs a étudié un groupe de 954 femmes provenant de 30 cliniques d’avortement à travers les États-Unis. Leur objectif était tout d’abord de comprendre les raisons poussant ces femmes à opter pour un avortement. Les résultats ont été remarquables. En effet, les femmes ont mentionné une multitude de motifs pour justifier leur choix, tels que ceux-ci :
Comme l’illustre l’étude, la majorité des femmes interrogées ont expliqué les raisons qui les ont poussées à avorter. En ce sens, les rédacteurs de l’article affirment que la décision d’une femme de recourir à une interruption de grossesse est influencée par une multitude de facteurs, tels que l’âge, la santé, le niveau socio-économique, le nombre d’enfants et le statut matrimonial.
Le processus dépendra du type d’avortement que vous avez. Il ne faut pas oublier que l’avortement est différent pour chacun. Par exemple, certaines femmes signalent une douleur intense, tandis que d’autres la décrivent comme un léger inconfort. De ce fait, vos médecins et infirmières essaieront de rendre votre avortement aussi confortable que possible.
Pour un avortement médicamenteux, votre médecin vous donnera tout d’abord un comprimé de mifépristone que vous prenez habituellement à la clinique. Ensuite, des heures ou des jours plus tard, on vous demandera de prendre du misoprostol, généralement à la maison. Votre médecin peut également vous prescrire des antibiotiques pour prévenir une infection.
Environ une semaine plus tard, dans un second temps, vous rencontrerez votre prestataire pour vous assurer que l’avortement a bien eu lieu.
Si vous subissez un avortement par aspiration, un professionnel de la santé examinera d’abord votre utérus et utilisera un spéculum pour voir à l’intérieur de votre vagin . Ensuite, ils vont :
De plus, le médecin dispose d’un outil pour retirer tout tissu résiduel de votre utérus ou pour confirmer son vidage complet, afin de rendre le texte plus fluide et engageant. Après la procédure d’avortement par aspiration, vous serez placé(e) en zone de récupération pour environ une heure ou jusqu’à ce que vous vous sentiez suffisamment bien pour rentrer chez vous. Bien que la procédure en elle-même soit généralement courte, d’une durée d’environ 10 minutes, il est important de noter que votre rendez-vous sera plus long en raison des étapes de préparation et de récupération nécessaires.
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L’IVG n’est pas un acte douloureux. En cas de fatigue ou de perte de sang, il est important de contacter votre médecin sans tarder. Il faut cesser toute activité sportive pendant une semaine. Il faut également, pour les patientes tombées enceintes dans des conditions particulières, se rapprocher d’un psychologue pour un suivi post-opératoire.
En cas de IVG, il est normal de se demander combien de temps les hormones de grossesse restent présentes dans le corps. En règle générale, le médecin peut réaliser l’IVG jusqu’à 3 mois de grossesse et met fin au développement du fœtus. Néanmoins, même après avoir subi une IVG, il est probable que des hormones demeurent présentes pendant un temps donné.
L’un des acteurs principaux dans cette histoire hormonale est sans aucun doute la fameuse hormone gonadotrophine chorionique (HCG), secrétée par le placenta durant la grossesse. Toutefois, suite à une interruption volontaire de grossesse, les taux d’HCG dans le corps ont tendance à décroître graduellement. Après l’IVG, les règles peuvent reprendre leur cours habituel. Néanmoins, le délai de retour des règles peut varier d’une femme à l’autre après un avortement. Il se peut que certaines femmes aient des saignements menstruels quelques semaines après l’intervention, tandis que d’autres doivent attendre un peu plus longtemps. Notons que ces délais peuvent être affectés par des facteurs personnels tels que la durée de la grossesse et le fonctionnement hormonal propre à chaque femme.
Les interruptions volontaires de grossesse font toujours l’objet de vifs débats à travers le monde comme Maroc et l’Algérie. Seule la Tunisie autorise l’IVG pour les femmes mariées ou pas mais pour une grossesse ne dépassant pas les 12 semaines. Les pays musulmans et arabes n’autorisent pas pour le moment de tels actes.
Si vous voulez organiser votre IVG en 24h, Tunisie Destination Santé peut vous accompagner lors de votre séjour médical dès votre arrivée à l’aéroport. N’hésitez pas à prendre contact avec nous pour en savoir plus sur l’interruption volontaire de grossesse.
Les femmes souffrant de troubles de la coagulation peuvent subir une IVG médicamenteuse sous stricte surveillance médicale afin de minimiser les risques de saignement. Notons que la consultation avec un hématologue est recommandée.
La majorité des femmes ne rencontrent pas de problèmes de fertilité après une IVG, qu’elle soit médicamenteuse ou chirurgicale. Toutefois, des complications rares peuvent survenir et affecter la fertilité, surtout en cas d’infection ou de dommages à l’utérus.
Après le premier trimestre, les options d’IVG incluent la dilatation et l’évacuation (D&E), qui est une procédure chirurgicale plus complexe nécessitant une anesthésie générale ou locale.
Les femmes ayant des antécédents de césarienne peuvent subir une IVG médicamenteuse ainsi que chirurgicale. Toutefois, la méthode chirurgicale peut nécessiter des précautions supplémentaires pour éviter les complications liées à la cicatrice utérine.
Les risques psychologiques varient d’une personne à l’autre. Certaines femmes peuvent ressentir du soulagement, tandis que d’autres peuvent éprouver de la tristesse, de la culpabilité ou de l’anxiété. C’est pourquoi, un soutien psychologique ou une thérapie peut aider à gérer ces émotions.
Oui, mais une IVG chez une femme souffrant de maladies cardiaques nécessite une évaluation médicale approfondie et peut être réalisée dans un hôpital sous surveillance étroite pour minimiser les risques cardiaques.
Les options incluent l’IVG médicamenteuse ou chirurgicale, mais la procédure peut être plus complexe et nécessite une consultation spécialisée pour déterminer la méthode la plus sûre.
Pour commencer, une évaluation médicale approfondie est nécessaire pour déterminer la méthode la plus sûre. L’IVG médicamenteuse peut être préférable dans certains cas, tandis que l’IVG chirurgicale peut nécessiter une expertise spécialisée.
La recherche montre des résultats variés. Certaines femmes ne ressentent aucun effet à long terme, tandis que d’autres peuvent éprouver des sentiments de regret ou de détresse. C’est pourquoi un suivi psychologique peut être bénéfique pour celles qui en ont besoin.
Notons que la grossesse extra-utérine ne peut pas être traitée par une IVG classique. En effet, une GEU nécessite une intervention médicale urgente, souvent chirurgicale, pour retirer l’embryon situé en dehors de l’utérus et prévenir les complications graves pour la santé de la femme.